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Fragments d'Hyppo
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9 juin 2009

Colin Thibert

Un auteur vraiment sympa parmi mes lectures récentes: Colin Thibert (qui a publié apparemment des titres sous le nom de Pierre Colin Thibert).

Colin Thibert est un écrivain suisse auteur de bouquins pour enfants, de nouvelles et ces dernières années de romans noirs dans lesquels il mène à la noirceur des polars l'humour et les situations les plus loufoques (à la Tom Sharpe) et c'est évidemment celles-ci que j'ai apprécié dans "Noel au balcon" et plus encore dans "Royal cambouis".

ThibertNoelQuatre petits escrocs profitent de la monumentale tempête du 26 décembre 1999 pour tenter leur chance et faire en sorte que le rêve d'une vie meilleure devienne réalité. Si l'on affirme que la nuit les chats sont gris, on peut désormais dire que quand il y a tempête, tout est permis. C'est ainsi que dans l'obscurité d'une ville plongée dans le chaos de cette tempête vont se croiser, parfois se rencontrer une inspectrice des impôts amoureuse d'un receleur spécialisé en pierres tombales, un pompier culturiste, un tueur professionnel digne d'un 007, une fliquette boulotte et teigneuse, et quelques autres personnages encore bien sympatiques.

Ce bouquin fut un bon moment de lecture avec du rire et une vraie intrigue policière.

ThibertCambouis"Royal Cambouis" est le 1er roman que j'ai lu de Colin Thibert, il me semble un cran au dessus de "Noel au Balcon". On rit beaucoup, ce bouquin est vraiment bidonnant et ce malgré le dramatique des situations. On rit à se faire peur même parfois et puis au final on espére surtout qu'il n'y ait pas autant d'incompétents et de fous furieux dans la vraie vie que dans ce bouquin de Colin Thibert et ce d'autant que plus que le sujet est tout à fait actuel et crédible.

Présentation de l'éditeur
En plein massif du Vercors, dans un endroit discret, travaille le professeur Poitevin. Que fait-il ? Rien. Sinon surveiller une vétuste " station de recherche " du ministère de l'Agriculture en compagnie d'un ancien taulard muet comme une tombe. Plutôt stressant quand on sait que la station abrite en réalité des déchets militaires inavouables. Poitevin n'en dort pas. Surtout les nuits d'orage, lorsque des flaques douteuses apparaissent sous les fûts. De quoi demander aux Services spéciaux un nettoyage par le vide, témoins compris... Qui des barbouzes ou du poison fera le plus de dégâts ? ...

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